SNAPAP ALGER

Comité de Femmes Snapap

lundi 31 octobre 2011

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Forum du réseau d'action des communiquants de L'ISP du 31 octobre au 04 novembre 2011 a Tunis

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samedi 29 octobre 2011

Communiquée


Communiquée

Encore une fois le SNAPAP dénonce fermement la situation sociale et professionnelle dégradante des travailleurs recrutés dans le cadre du pré-emploi.

Les travailleurs du pré-emploi sont majoritairement des diplômés universitaires dont le nombre est de 600.000 environ qui galèrent sous silence, étant sous-payés, exploités, harcelés et menacés de résiliation de contrat à tout moment.

Malgré toutes les actions de protestations menées par les travailleurs du pré-emploi contre cette injustice flagrante le pouvoir continue à multiplier les entraves à l’encontre des travailleurs du pré-emploi et de leur représentante Malika Falil victime des représailles contre ses activités syndicales.

Le SNAPAP déclare que la politique de l’emploi menée actuellement par le pouvoir est pernicieuse et une nouvelle forme d’esclavage qui maintien de centaines de milliers de jeunes dans la pauvreté la plus totale et la dégradation sociale.

Cette catégorie socioprofessionnelle méprisée par les décideurs est victime de dépassements des employeurs qui les chargent de travail domestique chez les privés.

Le SNAPAP interpelle les décideurs, les élus et la société civile à réagir concrètement contre les atteintes graves à l’égard d’une catégorie socioprofessionnelle la plus vulnérable en Algérie .

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Communiquée




Communiquée

Levons le voile sur les dessous du pré-emploi et filet social.

Il est urgent de lever les voiles sur la réalité du pré-emploi notamment sur les grands écarts de salaires qui sont de 5000 à 15000 DA.

Les salaires sont perçus avant de grands retards, tous les 6 mois et même plus.

Les inégalités des salaires est une preuve irréfutable du dysfonctionnement flagrant du pré-emploi.

L’ANEM attribue un salaire de 12000 à 15000 DA.

La DAS accorde un salaire entre 5000, 6000, 7000 et 9000 DA.

Les travailleurs du filet social perçoivent 3000 DA versés avec de grands retards, parfois tous les neufs mois.

Ces travailleurs majoritairement des diplômés universitaires sont maintenus dans l’exploitation et la misère sociale et souvent victimes des harcèlements et des dépassements de la part de leurs employeurs.

Le SNAPAP interpelle la société civile, des droits de l’homme et tous ceux attentifs à la détresse de cette catégorie corvéable de travailleurs à réagir pour mettre un terme au mépris et au refus des décideurs d’apporter des solutions adéquates et durables pour le recouvrement de la dignité des travailleurs précaires.

Le President

Malaoui Rachid

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vendredi 28 octobre 2011

DECLARACIÓN

DECLARACIÓN

Nosotras de la Marcha Mundial de las Mujeres de Paraguay, Argentina, Chile y Brasil reunidas en Asunción, Paraguay, los días 25,26 y 27 de octubre, en el Encuentro Internacional “Mujeres Sujetas Políticas: fortaleciéndose para la transformación” CONDENAMOS la declaración de Estado de excepción en la zona norte del Paraguay así como demás medidas de criminalización de la protesta en nuestra región.

La región está viviendo la expansión de un modelo de seguridad, basado en la militarización total de los espacios de convivencia. Esta Militarización se basa en la instalación de bases militares por todo el continente, el aumento en los presupuestos para las fuerzas militares, la compra de armamentos y equipos para la guerra, la aprobación de leyes de tipo represivo, esto combinado con la aplicación de programas de tipo “social” que aprovechan de la ausencia de políticas sociales estables para legitimar la presencia y la actuación de las milicias. Al mismo tiempo este tipo “ayudas sociales” han sido utilizadas para desmovilizar a los sectores populares con amenazas de que se van a dejar de dar si alzan sus voces de protesta.

En América Latina este modelo de militarización se fortalece con la aplicación del Plan Colombia y está directamente ligado al funcionamiento del modelo de desarrollo económico vigente de tipo extractivista, en el que se saquean nuestros bienes naturales como el agua, las tierras, los minerales, el petróleo y todo lo que les genere ganancia, para la instalación de multinacionales que se aprovechan estos bienes, ocasionando grandes perjuicios sociales y ambientales.

En nuestros países la militarización se evidencia no solo con el aumento de tropas, sino con la criminalización de las luchas populares y de las organizaciones sociales que se organizan para defender sus derechos. También busca generar una cultura del miedo y de desconfianza hacia el otro y la otra en nuestras relaciones cotidianas.

Nosotras las mujeres conocemos la violencia sexista utilizada como arma de guerra, para desestabilizar nuestras comunidades, para colonizar nuestros cuerpos a la vez que nuestros territorios. RESISTIMOS a la instrumentalización de nuestro trabajo y de nuestras vidas para instalar la militarización en nuestros pueblos. RECHAZAMOS el falso discurso de que necesitamos ser protegidas por hombres con armas, en la realidad sigue la violencia domestica, la impunidad, la desaparición de niñas para la trata y la prostitución, los femicidios, aún más frecuentes en las zonas militarizadas.

Nos PREOCUPA la situación actual en Concepción y San Pedro, donde la violencia intimidatoria y la desinformación producidas por los medios de comunicación empresariales están provocando la expulsión de varias familias, su aislamiento y atemorización. La situación se siente también en las demás regiones con la estigmatización de las organizaciones sociales, sobretodo campesinas e indígenas, con objetivo de callar las voces y el pensamiento autónomo de los y las que defendemos la soberanía de los pueblos.

Nos SOLIDARIZAMOS con nuestras compañeras que viven y luchan en estas regiones y amplificaremos su voz en todo el mundo.

DENUNCIAMOS la acción de la policía chilena, con la connivencia del gobierno nacional, en la represión a las movilizaciones estudiantiles; y en especial la represión a las mujeres jóvenes con agresiones y maltratos cuando fueron agarradas por los pelos o cuando han obligado a mujeres jóvenes de 14 a 16 años a desnudarse en la comisaria como si fuera un procedimiento “normal”. En todos nuestros países vivimos la criminalización de la pobreza y de las mujeres, como es la ofensiva contra las mujeres que recurren al aborto mientras no hay políticas que afrontan los altos índices de mortalidad materna.

También VIVIMOS la represión contra las luchadoras, el asesinato de campesinas y campesinos e indígenas que resisten a las políticas de saqueo del capitalismo extractivista, de las compañías mineras, la contaminación del ambiente y los agravios a la salud de las personas por la expansión de monocultivos como la soja transgénica, la ganadería y la caña de azúcar para la producción de agrocombustibles.

Nos COMPROMETEMOS a organizar acciones concertadas de denuncias y afirmación de alternativas, como a generar y difundir informaciones de lo que pasa en nuestra región, para que las voces de las mujeres que resisten cotidianamente al ataque de sus derechos sean escuchadas y que la solidaridad entre mujeres de todo el mundo se haga sentir. Reivindicamos el derecho a vivir una vida libre violencia y a promover una cultura de paz, donde la buena convivencia entre las personas sea uno de los principales valores de nuestras sociedades.

Estaremos en marcha hasta que todas seamos libres!!! MMM.

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lundi 24 octobre 2011

Communique

Communique

Convaincu de la juste cause des salariés et des catégories professionnelles dans tous les secteurs qui luttent pour l’accès à la dignité à la promotion sociale, professionnelle et pour l’instauration de la liberté d’exposions et de la démocratie

Le SNAPAP apporte, son plein soutien à tous les salariés en grève contre les dysfonctionnements, l’injustice la précarité et l’exclusion qui entravent le développement et l’émancipation des travailleurs algériens.

Le SNAPAP déclare que face a un pouvoir autiste qui tourne le dos au peuple en détresse et aux revendication.

La grève comme action de protestation est le seul moyen efficace pour exiger l’accès a la dignité et à la citoyenneté .

Communique

Convaincu de la justice cause des avocats d’Algérie le SNAPAP apporte son plein soutien à la lutte et au combat qu’il mènent pour instaurer une véritable défense conforme aux dispositions de la constitution, aux conventions internationales de droits de lhomme

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Communiqué

Communiqué


Le conseil national de la sante publique affilier au SNAPAP réagit vivement contre le sort réserver au malades cancéreux.

Le centre de lutte contre le cancer Pierre et Marie Curie vit une véritable catastrophe car les services de radiothérapie vienne de fermer, les rendez vous sont reportés alors que les malades au nombre de 20.000 viennent des 4 coins du pays .

Un grand nombre de malades décèdent sans bénéficier de soins ni de rendez vous, sans doute les pouvoirs publics ignorent que le cancer n’attend pas et ne pardonne pas et la situation de détresse dramatique ne le concerne pas, même si le cancéreux sont souvent des enfants et des jeunes livrés a une mort certaine .

Le conseil national de la santé publique estime que le mépris de la tutelle et des décideurs devant cette déchéance humaine est justifiée par le fait que la nomenklatura soigne ses petits bobos à l’étranger et ne se sentent à aucun moment concernée par le sort dramatique des malades cancéreux auxquels ils refusent le droit aux soins et le droit à la vie.

Le conseil national de la santé interpelle les parlementaires, les élus, les partis politiques, la société civile et les droits de l’homme à réagir vivement et mener des actions concrètes pour amener les décideurs a résoudre immédiatement la situation qui prévaut au CAC de Pierre et Marie Curie par ailleurs le conseil national de la santé reste vigilant quand aux actions à entreprendre dans le futur pour alarmer et alerter tous ceux qui sont en mesure de contribuer efficacement pour la réouvertures sans délais de ce centre.

La présidente

Lalia Djaddour

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jeudi 20 octobre 2011

Objet : Lettre ouverte relative au projet de loi sur les associations

Objet : Lettre ouverte relative au projet de loi sur les associations

Mesdames, Messieurs les présidents de groupes,

Le 12 septembre 2011, le Conseil des ministres a adopté un projet de loi relative aux associations.

Le Réseau euro-méditerranéen des droits de l’Homme (REMDH) et ses organisations membres en Algérie, le Collectif des Familles de Disparus en Algérie (CFDA) et la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme (LADDH), prennent acte de cette initiative[1], mais regrettent vivement que les modifications opérées consacrent des pratiques abusives antérieures de l’administration et que certaines de ses dispositions restreignent encore plus sévèrement la liberté d’association.

Si nos trois organisations retiennent avec satisfaction le lien opéré dans le préambule du projet de loi entre le respect de la liberté d’association et la promotion de la démocratie, tant les associations peuvent s’avérer être un partenaire essentiel pour le développement du pays, nous déplorons que ce lien ne se reflète pas dans les dispositions du projet de loi.

En effet, de nombreuses dispositions du texte présenté devant la chambre des députés sont de nature à restreindre drastiquement la liberté des associations algériennes. Nos préoccupations, détaillées dans le Mémorandum ci-dessous, se situent principalement à 5 niveaux : 1) la procédure de création des associations soumise à autorisation préalable ; 2) le mode de financement des associations ; 3) les limitations à la coopération avec des organisations étrangères ; 4) le régime auquel sont soumises les associations étrangères et 5) les conditions particulièrement larges dans lesquelles les associations peuvent être suspendues ou dissoutes.

Pour l’ensemble de ces raisons, le REMDH, le CFDA et la LADDH, considèrent que le projet de loi sur les associations, en l’état, ne garantit pas les droits des associations algériennes tels que prescrits dans les Conventions internationales ratifiées par l’Algérie, lesquelles ont, selon la Constitution algérienne elle-même, valeur supérieure aux lois nationales.

Par conséquent, nous vous demandons instamment de ne pas adopter le texte en l’état et d’y apporter les modifications nécessaires afin de s’assurer qu’il soit conforme aux principes du droit international en matière de protection des droits de l’Homme.

Exprimant le vœu que vous tiendrez compte de l’analyse juridique détaillée dans notre mémorandum, nous vous prions de croire, Mesdames, Messieurs les présidents de groupes, en l’assurance de nos salutations distinguées.

Kamel Jendoubi

Président du REMDH

Mustapha Bouchachi

Président LADDH

Nassera Dutour
Porte-parole du CFDA

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Communiqué

Communiqué


Le conseil national de la sante publique affilier au SNAPAP réagit vivement contre le sort réserver au malades cancéreux.

Le centre de lutte contre le cancer Pierre et Marie Curie vit une véritable catastrophe car les services de radiothérapie vienne de fermer, les rendez vous sont reportés alors que les malades au nombre de 20.000 viennent des 4 coins du pays .

Un grand nombre de malades décèdent sans bénéficier de soins ni de rendez vous, sans doute les pouvoirs publics ignorent que le cancer n’attend pas et ne pardonne pas et la situation de détresse dramatique ne le concerne pas, même si le cancéreux sont souvent des enfants et des jeunes livrés a une mort certaine .

Le conseil national de la santé publique estime que le mépris de la tutelle et des décideurs devant cette déchéance humaine est justifiée par le fait que la nomenklatura soigne ses petits bobos à l’étranger et ne se sentent à aucun moment concernée par le sort dramatique des malades cancéreux auxquels ils refusent le droit aux soins et le droit à la vie.

Le conseil national de la santé interpelle les parlementaires, les élus, les partis politiques, la société civile et les droits de l’homme à réagir vivement et mener des actions concrètes pour amener les décideurs a résoudre immédiatement la situation qui prévaut au CAC de Pierre et Marie Curie par ailleurs le conseil national de la santé reste vigilant quand aux actions à entreprendre dans le futur pour alarmer et alerter tous ceux qui sont en mesure de contribuer efficacement pour la réouvertures sans délais de ce centre.

La présidente

Lalia Djaddour

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mardi 18 octobre 2011

Les trains de la SNTF bloqués L’action des cheminots se radicalise

Au troisième jour de la grève des cheminots, toutes les régions couvertes par la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF) ont été touchées par le débrayage entamé dimanche.


La grève s’étend donc à l’Est après s’être propagée à l’Ouest. Toutes les destinations sont bloquées, au grand désespoir des 60 000 usagers qui font appel quotidiennement à ce moyen de transport.
Selon El Hadi Chemoune, syndicaliste, membre du Conseil des participations de l’entreprise, la région du Constantinois a rejoint le mouvement de protestation. Les régions de l’Ouest et du Centre sont en grève depuis le début de la semaine. Tous les trains sont à quai. «Le résultat est satisfaisant», a-t-il déclaré hier en guise de commentaire sur la grève «massivement suivie par les cheminots». Notre interlocuteur avance un taux de suivi atteignant les 100% dans les régions du Centre et de l’Ouest. Dans le Constantinois, le suivi varie entre 50 et 100%. «Nous espérons atteindre un suivi de 100% dans les prochains jours, si la direction ne daigne pas répondre aux revendications de 12 000 travailleurs», soutient le même syndicaliste.


Selon la Fédération nationale des cheminots, qui soutient le mouvement initié par les travailleurs, «il n’y a aucune volonté de la direction générale de mettre fin à cette situation». Les cheminots réclament le versement du rappel de l’augmentation du salaire à effet rétroactif à partir de 2009. L’entreprise s’est engagée au règlement de ces dus le 3 octobre dernier, mais lors d’une réunion tenue le 12 octobre, «M. Benamar, premier responsable de cette entreprise, a déclaré que la SNTF n’a pas les moyens financiers pour payer ces montants, ce qui est considéré comme inadmissible par les travailleurs», explique le même syndicaliste. C’est la principale revendication des protestataires, qui s’interrogent également sur la «pertinence» des propos du directeur. «Comment parle-t-on d’une situation financière difficile derrière l’impossibilité d’honorer les engagements vis-à-vis des travailleurs alors que le trafic et le rythme de travail de l’entreprise reflètent, au contraire, une bonne santé ?», s’interroge un syndicaliste.


Dans une déclaration précédente à la presse, le directeur des ressources humaines de la SNTF, Noureddine Dakhli, a confirmé qu’au début de l’année en cours, la direction générale avait négocié différentes plateformes de revendications qui ont abouti à un protocole d’accord signé entre la direction générale et la Fédération nationale des cheminots sur une augmentation salariale de 5% avec un rappel à partir de janvier 2011. «Cependant, la direction générale a été surprise, le 3 octobre, par une autre revendication exigeant un rappel non pas depuis janvier 2011 mais septembre 2009», explique le même responsable, qui indique que des pourparlers sont engagés pour arriver à un compromis. Pour les grévistes, «la direction n’a pas encore donné de signal attestant une quelconque volonté de régler la situation».
Au contraire, accusent certains travailleurs, les premières mises en demeure commencent à affluer. «La direction pousse au pourrissement», dénonce-t-on également. Pour la Fédération des cheminots, l’action sera illimitée jusqu’au versement de la totalité des montants.

Fatima Arab
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Le personnel d’Air Algérie se concerte sur l’avenir de la compagnie Des assises sur fond de contestation et de division

Très attendues, les assises de la compagnie Air Algérie se tiendront (les 22-23 octobre) sur fond de contestation du récent accord salarial par les représentants des travailleurs, mais également de division dans les rangs de ces derniers…

Initiées par la direction générale, les assises d’Air Algérie, prévues les 22 et 23 octobre, regrouperont l’ensemble des cadres dirigeants de la compagnie ainsi que ses représentants à l’étranger pour faire «le bilan des dernières années, étudier et prendre en charge les attentes de la clientèle et définir les perspectives devant permettre le développement de l’entreprise.
Des ateliers devront traiter des questions les plus urgentes, comme la ponctualité, la qualité de service et le développement du trafic de transit». Un ordre du jour qui risque d’être chamboulé par les impératifs de l’heure liés surtout aux revendications socioprofessionnelles du personnel, d’autant que l’accord salarial achevé la semaine écoulée n’a pas suscité de consensus parmi les représentants des travailleurs.


L’accord prévoit une augmentation salariale de 20%, avec effet rétroactif à compter de juillet 2011. Parallèlement à ces réajustements, il est convenu «d’engager des actions pour la hiérarchisation des métiers et des salaires» mais aussi de rappeler aux travailleurs qu’«aucune contrainte de calendrier ne peut s’exercer sur le chapitre salarial après l’accord». Ces augmentations sont vite dénoncées par le bureau du syndicat national de l’entreprise (affilié à l’UGTA), «avec la plus grande vigueur», en les qualifiant «d’iniques et véhiculant des arrière-pensées». Le syndicat a mis en garde «contre les retombées d’un tel accord sur les bas salaires» en s’insurgeant contre ce qu’il a appelé une «répartition inéquitable du budget alloué suscitant des conséquences désastreuses sur la compagnie surtout en cette période de campagne de pèlerinage». Sans être totalement opposé, le SNPNC (Syndicat (autonome) national du personnel navigant commercial) a contesté «certains articles» de l’accord en regrettant que ce dernier «n’ait pas pris en compte les acquis obtenus lors des différents rounds de négociations avec l’employeur» durant l’été dernier, après les deux grèves qui ont paralysé la compagnie.


Des réactions qui tranchent totalement avec celle de douze sections syndicales affiliées à l’UGTA, des pilotes, du technique spécifique, du technique support, du fret, des œuvres sociales, du DIT Kouba, de la DOS, du personnel navigant commercial, du catering, du DOA sol, du DRCA et du siège, ont exprimé jeudi dernier leur «pleine adhésion à la stratégie de redressement et de redéploiement désormais assignée au pavillon national, en parallèle avec le règlement des problèmes socioprofessionnels des travailleurs».
Selon ces sections, le pavillon national «s’améliore de jour en jour grâce à l’adhésion de tous les travailleurs aux nouveaux objectifs de redressement et de redéploiement assignés ; la campagne hadj sera aussi bien réussie, tout comme celle de la omra de l’été dernier, à la satisfaction de notre clientèle, notamment de nos compatriotes émigrés». Dans leur communiqué, elles ont dénoncé la réaction du syndicat d’entreprise en déclarant : «Comment peut-il dénoncer une augmentation de 20% sur le salaire de base à tous les travailleurs de la compagnie, alors qu’il avait jugé historique l’accord de septembre 2010, qui avait institué une prime de 1400 DA à l’écrasante majorité des travailleurs et une autre astronomique pour d’autres ?»


Ces mêmes sections, faut-il le rappeler, avaient, au mois de mai dernier, exigé la tenue des assises pour débattre de «la dégradation du climat au sein de la compagnie et des graves problèmes liés à la représentativité de certains syndicats». Elles avaient appelé à une assemblée générale dans l’enceinte de l’aéroport d’Alger, mais faute d’autorisation, elles se sont contentées d’une déclaration à travers laquelle elles ont appelé «à l’ouverture d’un débat avec l’employeur sur les dossiers qui engagent l’avenir de la compagnie, et de ce fait, des travailleurs». Force est de constater que les prochaines assises d’Air Algérie seront plus houleuses que celles qui ont eu lieu en 2008.

Salima Tlemçani
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Grève nationale à partir du 22 octobre

Le Conseil national des agents de sécurité et de prévention, affilié au Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (Snapap), a décidé d’observer une grève de trois jours à partir du 22 octobre.

Ce mouvement de protestation vient en réponse «à l’exclusion et à la marginalisation» dont souffre cette catégorie de travailleurs, précise le Conseil dans un communiqué rendu public hier. Les revendications exprimées par le Conseil sont essentiellement d’ordre salarial. Les agents de sécurité et de prévention réclament, entre autres, un statut particulier, une nouvelle grille de salaires, la révision du régime indemnitaire, la régularisation des contractuels et l’amélioration des conditions de travail. Il y a environ 18 000 agents de sécurité au niveau national.

R. S.
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Le Snapap dénonce l’intimidation contre l’exercice du droit syndical

LE 18/10/2011

Le Snapap a dénoncé, dans un communiqué parvenu hier à notre rédaction, la résiliation du contrat de travail de la présidente du comité du pré-emploi et filet social, Malika Fallil.



«Après plusieurs tentatives d’intimidation et de harcèlement par l’ordonnateur qui, à chaque fois, la convoque dans son bureau pour lui demander d’arrêter son mouvement et de s’éloigner du syndicalisme, Malika Fallil a vu son contrat résilié», rapporte le document signé par le président du Snapap, Rachid Malaoui. Malika Fallil avait exprimé son refus d’arrêter son activité syndicale.
Suite à l’action du 20 septembre dernier, l’administration est alors passée à l’acte après l’avoir menacée à maintes reprises.

«Son contrat, qui devait prendre fin en novembre 2013, stipulait dans son article 13 que l’intéressée serait informée 7 jours avant la résiliation de son contrat avec les raisons de ladite résiliation, mais l’administration lui a clairement expliqué que cette résiliation émanait du ministère du Travail», précise le communiqué.
Le Snapap demande donc l’annulation de cette décision de résiliation de contrat et la réhabilitation de Malika Fallil dans son poste d’emploi ainsi que l’arrêt immédiat de toutes les intimidations qui violent les lois et les conventions internationales ratifiées par l’Algérie sur le droit à l’exercice syndical.

F. B.
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dimanche 16 octobre 2011

Journée du 7 octobre : Manifestation à Genève pour le Travail décent


Colloque d'ACTRAV sur le Travail Précaire (4-7 Octobre 2011)

Dans le monde, des millions de travailleurs souffrent de conditions de travail précaires.Ils travaillent, mais ils manquent d'emplois décents, la sécurité, la protection et les droits. L'universalité et la dimension numérique du problème, appellent à une réglementation sur le plan international. Les syndicats attendent de l'OIT à la hauteur de la responsabilité de l'Organisation, de mieux saisir le défi de l'emploi précaire répandue dans le monde du travail.

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Journée du 7 octobre : Manifestation à Genève pour le Travail décent


Genève, 7 Octobre 2011 (ACTRAV INFO)-Le Bureau des Activités pour les travailleurs (ACTRAV) a organisé une manifestation symbolique pour les libertés syndicales et le travail décent, en collaboration avec les syndicats suisses. Cette manifestation qui a débuté devant la place des nations à Genève, a été marquée par l’animation de plusieurs marionnettes pour dénoncer la précarité des travailleurs et la mise sous tutelle des organisations syndicales par les patrons d’entreprises. Du palais des Nations jusqu’au siège de l’Organisation internationale du Travail, les manifestants ont réclamé plus de travail décent pour lutter contre la précarité.

.« Le travail décent reste pour nous un objectif à atteindre. La réalité montre que la précarisation progresse partout dans le monde. Il faut lutter contre la manière dont les pouvoirs publics, sous la pression du monde économique, des marchés financiers et des think thanks néolibéraux, orientent les débats dans la mauvaise direction », a expliqué le Vice-président travailleur du Conseil d’Administration du BIT, Luc Cortebeck, en marge de cette manifestation.

Organisée à l’occasion de la journée mondiale pour le travail décent, cette manifestation s’est déroulée en marge des travaux du colloque international sur les politiques et les réglementations destinées à lutter contre l’emploi précaire qui s’est tenu à Genève, du 4 au 7 octobre 2011.”

Pour plus d’informations voir la page web du colloque d’ACTRAV sur le travail précaire.
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