À l’occasion du 18 décembre, Journée internationale des migrants, l’Internationale des services publics appelle tous ses affiliés à continuer de lutter activement contre le racisme, la xé
nophobie et toutes les formes de discrimination, au travail et dans la société.
Les pays durement touchés par la crise constatent une recrudescence des campagnes haineuses, de la propagande raciste et des violences à l’égard des migrants. La réduction des services publics et l’incertitude économique font le lit des divisions, certains n’hésitant d’ailleurs pas à faire des migrants et des politiques d’immigration les boucs-émissaires du chômage. Les migrants, en particulier les femmes et les jeunes, sont touchés de manière disproportionnée par les licenciements massifs et la réduction des dépenses publiques. Les migrants sont les premiers à perdre leur emploi et à être coupés de services publics essentiels comme la santé, l’éducation, le logement et l’aide sociale, nécessaires à leur survie et à leur bien-être.
« C’est en cette période de crise que la solidarité entre travailleurs prend tout son sens » a déclaré Rosa Pavanelli, la nouvelle Secrétaire générale de l’Internationale des services publics. « Nous devons combattre les relents nauséabonds du racisme, de la xénophobie et de la discrimination qui réapparaissent dans nos sociétés et stigmatisent les plus vulnérables d’entre nous » souligne-t-elle.
L’ISP et ses affiliés du monde entier viennent de tenir leur 29ème Congrès mondial à Durban, en Afrique du Sud, lors duquel ils ont réaffirmé leur engagement envers les droits syndicaux, l’égalité, la justice sociale et économique et le développement durable pour toutes et tous.
Dans le cadre de son nouveau Programme d’action pour les cinq années à venir, l’ISP s’est engagée à continuer de travailler main dans la main avec la société civile et les associations locales pour défendre les droits humains des migrants et endiguer le racisme, la xénophobie et la discrimination sous toutes ses formes. Les affiliés de l’ISP ont adopté des résolutions condamnant vivement la discrimination et l’exploitation des travailleurs migrants ainsi que les méthodes de recrutement contraires à l’éthique. Les affiliés s’engagent à défendre les droits des travailleuses et travailleurs migrants et à les représenter dans leurs structures syndicales.
Les affiliés de l’ISP estiment qu’il ne faut pas discriminer les personnes nouvellement arrivées dans un pays pour y travailler, mais au contraire, les doter des mêmes droits et obligations que tout un chacun. Il s’agit là de l’un des fondements du principe d’égalité de traitement cher à l’ISP.
Au niveau mondial, les affiliés continueront de consolider le cadre normatif fondé sur les droits applicable aux travailleurs migrants et à leurs proches. Les affiliés s’engagent à renforcer leur campagne en faveur de la ratification de la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille de 1990, et des Conventions de l’Organisation internationale du travail sur les travailleurs migrants (C97 et C143).
« Il n’y a de vraie solidarité que si l’on réussit à protéger les plus vulnérables d’entre nous, au travail et dans la société. Nous devons agir vite, et sans tarder » ajoute Rosa Pavanelli.
Les pays durement touchés par la crise constatent une recrudescence des campagnes haineuses, de la propagande raciste et des violences à l’égard des migrants. La réduction des services publics et l’incertitude économique font le lit des divisions, certains n’hésitant d’ailleurs pas à faire des migrants et des politiques d’immigration les boucs-émissaires du chômage. Les migrants, en particulier les femmes et les jeunes, sont touchés de manière disproportionnée par les licenciements massifs et la réduction des dépenses publiques. Les migrants sont les premiers à perdre leur emploi et à être coupés de services publics essentiels comme la santé, l’éducation, le logement et l’aide sociale, nécessaires à leur survie et à leur bien-être.
« C’est en cette période de crise que la solidarité entre travailleurs prend tout son sens » a déclaré Rosa Pavanelli, la nouvelle Secrétaire générale de l’Internationale des services publics. « Nous devons combattre les relents nauséabonds du racisme, de la xénophobie et de la discrimination qui réapparaissent dans nos sociétés et stigmatisent les plus vulnérables d’entre nous » souligne-t-elle.
L’ISP et ses affiliés du monde entier viennent de tenir leur 29ème Congrès mondial à Durban, en Afrique du Sud, lors duquel ils ont réaffirmé leur engagement envers les droits syndicaux, l’égalité, la justice sociale et économique et le développement durable pour toutes et tous.
Dans le cadre de son nouveau Programme d’action pour les cinq années à venir, l’ISP s’est engagée à continuer de travailler main dans la main avec la société civile et les associations locales pour défendre les droits humains des migrants et endiguer le racisme, la xénophobie et la discrimination sous toutes ses formes. Les affiliés de l’ISP ont adopté des résolutions condamnant vivement la discrimination et l’exploitation des travailleurs migrants ainsi que les méthodes de recrutement contraires à l’éthique. Les affiliés s’engagent à défendre les droits des travailleuses et travailleurs migrants et à les représenter dans leurs structures syndicales.
Les affiliés de l’ISP estiment qu’il ne faut pas discriminer les personnes nouvellement arrivées dans un pays pour y travailler, mais au contraire, les doter des mêmes droits et obligations que tout un chacun. Il s’agit là de l’un des fondements du principe d’égalité de traitement cher à l’ISP.
Au niveau mondial, les affiliés continueront de consolider le cadre normatif fondé sur les droits applicable aux travailleurs migrants et à leurs proches. Les affiliés s’engagent à renforcer leur campagne en faveur de la ratification de la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille de 1990, et des Conventions de l’Organisation internationale du travail sur les travailleurs migrants (C97 et C143).
« Il n’y a de vraie solidarité que si l’on réussit à protéger les plus vulnérables d’entre nous, au travail et dans la société. Nous devons agir vite, et sans tarder » ajoute Rosa Pavanelli.
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